Que l'on abhorre ce que j'écris, mes points de vue et mes analyses, j'en conviens. Que l'on me trouve cynique, impudent, rance, amer, mauvais perdant, déversant mon fiel et ma bile dans ce blog dégoulinant de poujadisme, j'en conviens. Que l'on trouve que je fais le jeu de la droite et plus particulièrement celui d'Yves Nicolin en dénonçant l'archaïsme politique de Laure Déroche, j'en conviens. Mais je n'ai jamais refusé de débattre. On me propose d'ailleurs que très rarement de débattre ! Ce qui est tout de même curieux ! Et je n'ai jamais censuré sur ce blog un avis critique, voire très critique.
Alors quand le secrétaire de la section du PS de Roanne, lors d'un vernissage d'une inauguration photographique, hier au soir, m'invective publiquement, je ne peux lui dire que ce que je ne cesse de lui dire depuis plusieurs mois : "au lieu de vociférer, d'éructer, menacer, tonner, fulminer, haranguer, tu viens discuter avec moi si ta peur te le permet. D'autant que nous n'avons jamais échangé et qu'il serait sans doute souhaitable, eu égard à ta fonction, que je puisse entendre ton point de vue et que tu puisses entendre le mien !"
Au nom d'un idéal : celui de pratiquer la politique autrement pour permettre au Pays Roannais de relever les défis des trente prochaines années, je me suis engagé en 2008 au côté de la gauche Roannaise. Au nom de ce même idéal, je ne cesserai de dénoncer celles et ceux qui chaque jour le piétinent !
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